Au fil du temps, les activités humaines ont provoqué des effets significatifs sur les écosystèmes aquatiques du lac Saint-Pierre. La perchaude dépend de la végétation inondée pour la ponte, l’alimentation et la protection contre les prédateurs. Au cours des trois dernières décennies, la conversion des terres cultivées de foin en cultures de maïs et de soya a laissé les sols exposés a nus dans la zone inondable du lac. Ceci a engendré une perte d’habitats de reproduction, d’alimentation et
de développement des larves de perchaude,
d’environ 5000 hectares, soit l’équivalant à 9350 terrains de football.

Consulter le : Perchaude_LacStPierre_CP.pdf (dropbox.com)

Par P. Brodeur, É. Paquin, Y. Paradis, N. Vachon et S. Lachance, MELCCFP, Bien plus qu’une histoire de pêche, octobre 2022, Sentier Chasse et pêche